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le moment est venu de soigner. Les blessés du jour, à l'image de
Geoffroy Ngandamba (79e), refont leurs pansements. Pas
question de laisser les petits bobos gâcher la route. Que ce soit
sur le bitume ou à l'arrivée. Trois véhicules sont donc affectés à
ce service, et trois médecins en permanence au contact. Une
unité d'urgence mobile est également à disposition. Vu les
conditions extrêmes, il est possible que des réanimations soient
à envisager, comme des évacuations en CHU.
perte de contrôle, le slice et la chute. Intervention rapide du staff 16h 30 : On commence à désinstaller. Tentes et barrières
technique, rien de grave, un petit ajustement mécanique et le doivent être pliées, et pour certaines acheminées plus loin.
coureur se remet en selle. Le public est là, le soutien est Claude, chef de la logistique supervise. De l'ordre, chaque
chaleureux. Encouragements et détermination. L'esprit course. chose à sa place. Pour Arnaud, ancien coureur, mécano des
Panthères, c'est le moment de bosser sur les vélos. « Il faut tout
vérifier. Changer ce qu'il y a changer. C'est moi le toubib des
bécanes », sourit-il. Là encore, aucune erreur possible. Il peut
en aller de la vie des coureurs.
15h 10 : Andréa Palini (Skydive Dubaï), l'Italien, signe un 19h 05 : A l’hôtel Ogooué Palace, c'est le moment pour le
sprint magistral. Premier vainqueur, première joie, et pour les responsable des tests dopage de débriefer. « Aucun cas à
cameramen de la chaîne nationale, des plans qui savent faire la déplorer sur cette étape. Tout le monde est clean ». Remerciements
part à l'émotion. Depuis le car de retransmission, Léon Folquet au staff chargé des prélèvements. La bonne humeur est
met les images « dans la boîte ». En direct, ceux qui n'ont pas palpable, et le ministre des Sports, Blaise Louembe invite les
la chance d'être à Lambaréné profitent aussi du spectacle. participants à un buffet. Tous ensemble, sans façon. Après
l'effort, le réconfort. Un plaisir qui se partage.
15h 15 : Arrivée du premier gabonais, Glenn Morvan
Moulengui, dossard 14, 33e de l'étape. L'écart est réduit, le 21h 00 : Professionnels ou amateurs, employeurs et employés, la
devoir accompli. Ce sera plus difficile pourAtsbeha Getachew, caravane est une famille. Tout est maintenant en ordre. Chacun
l'Ethiopien, qui accuse 11' 29 sur la ligne. Réactions à chaud, regagne sa chambre. Dans quelques heures, il faudra remettre du
remise des maillots pour les vainqueurs du jour. Palini en jaune. braquet. La Tropicale s'en ira, mais les images resteront. C'est aussi
Depuis 2013, sa 7e victoire d'étape. Un habitué des lieux. cela la magie de l'épreuve. Elle ne passe que quelques heures,
comme ces coureurs lancés à pleine vitesse. Mais son souvenir
15h 45 : Pour l'équipe médicale du professeur Romain Tchoua, reste. Et la certitude aussi que l'an prochain, on y sera encore. I
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Geoffroy Ngandamba (79e), refont leurs pansements. Pas
question de laisser les petits bobos gâcher la route. Que ce soit
sur le bitume ou à l'arrivée. Trois véhicules sont donc affectés à
ce service, et trois médecins en permanence au contact. Une
unité d'urgence mobile est également à disposition. Vu les
conditions extrêmes, il est possible que des réanimations soient
à envisager, comme des évacuations en CHU.
perte de contrôle, le slice et la chute. Intervention rapide du staff 16h 30 : On commence à désinstaller. Tentes et barrières
technique, rien de grave, un petit ajustement mécanique et le doivent être pliées, et pour certaines acheminées plus loin.
coureur se remet en selle. Le public est là, le soutien est Claude, chef de la logistique supervise. De l'ordre, chaque
chaleureux. Encouragements et détermination. L'esprit course. chose à sa place. Pour Arnaud, ancien coureur, mécano des
Panthères, c'est le moment de bosser sur les vélos. « Il faut tout
vérifier. Changer ce qu'il y a changer. C'est moi le toubib des
bécanes », sourit-il. Là encore, aucune erreur possible. Il peut
en aller de la vie des coureurs.
15h 10 : Andréa Palini (Skydive Dubaï), l'Italien, signe un 19h 05 : A l’hôtel Ogooué Palace, c'est le moment pour le
sprint magistral. Premier vainqueur, première joie, et pour les responsable des tests dopage de débriefer. « Aucun cas à
cameramen de la chaîne nationale, des plans qui savent faire la déplorer sur cette étape. Tout le monde est clean ». Remerciements
part à l'émotion. Depuis le car de retransmission, Léon Folquet au staff chargé des prélèvements. La bonne humeur est
met les images « dans la boîte ». En direct, ceux qui n'ont pas palpable, et le ministre des Sports, Blaise Louembe invite les
la chance d'être à Lambaréné profitent aussi du spectacle. participants à un buffet. Tous ensemble, sans façon. Après
l'effort, le réconfort. Un plaisir qui se partage.
15h 15 : Arrivée du premier gabonais, Glenn Morvan
Moulengui, dossard 14, 33e de l'étape. L'écart est réduit, le 21h 00 : Professionnels ou amateurs, employeurs et employés, la
devoir accompli. Ce sera plus difficile pourAtsbeha Getachew, caravane est une famille. Tout est maintenant en ordre. Chacun
l'Ethiopien, qui accuse 11' 29 sur la ligne. Réactions à chaud, regagne sa chambre. Dans quelques heures, il faudra remettre du
remise des maillots pour les vainqueurs du jour. Palini en jaune. braquet. La Tropicale s'en ira, mais les images resteront. C'est aussi
Depuis 2013, sa 7e victoire d'étape. Un habitué des lieux. cela la magie de l'épreuve. Elle ne passe que quelques heures,
comme ces coureurs lancés à pleine vitesse. Mais son souvenir
15h 45 : Pour l'équipe médicale du professeur Romain Tchoua, reste. Et la certitude aussi que l'an prochain, on y sera encore. I
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