" Ici, les bandits dictent leur loi. C'est à croire que notre quartier est devenu un lieu de non-droit", s'est indignée une riveraine. Selon d'autres, l'hôtel Neng’Abembé serait également devenu un refuge pour malfrats qui, après avoir commis des larcins et autres délits dans la ville, trouveraient leur sommeil dans ce lieu pour partager leur butin et attendre d'autres occasions pour opérer.
Pour les populations, leur salut ne pourrait provenir que d'une opération "coup de poing" et autres patrouilles des forces de l'ordre visibles uniquement, selon eux, à des endroits paisibles de la ville.
Jean-Paulin ALLOGO
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