Le cabinet Ernest &Young et ses prérogatives, expliqué au public, grâce à une interview du quotidien L'Union.
l’union. Le cabinet Ernst & Young Gabon a organisé, le 31 mars, au méridien Ré-Ndama, une rencontre sur l’amélioration du besoin en fonds de roulement, la maîtrise des coûts et la performance industrielle. Quel était l’objectif de cet échange ?Christophe HERBAUT. Nous avons eu le plaisir d’accueillir nos partenaires pour leur présenter un thème d’actualité et échanger, avec la participation de nos collègues des bureaux de Paris et Kin-shasa, sur des problématiques auxquelles ils sont confrontés. Notre but premier est donc de comprendre leurs préoccupations, pour être en mesure d’être une force de propositions et de d'accompagnement.
Expliquez-nous brièvement cette offre de services ?
L’offre EY s’appuie sur 3 piliers, à savoir : la maîtrise des risques et l'optimisation des processus, la stratégie et le management des organisations, et le conseil en systèmes d'information.
Comment cette initiative s’inscrit-elle dans le contexte actuel et quelles sont vos ambitions ?
Nous prévoyons de continuer à renforcer notre équipe, pour accompagner la transformation de l’économie gabonaise.
Propos recueillis par Maxime Serge MIHINDOU
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