La question de la restauration ne se pose pas trop aux candidats et encadreurs du baccalauréat 2018. Et pour cause.
Dans les centres d'examen, à l'exemple du centre d'Oloumi comme à celui du Lycée Technique national Omar Bongo (LTNOB), les "foyers" ont rouvert après l'arrêt des classes. Là, entre deux épreuves, surveillants et candidats peuvent se restaurer : sandwich, boissons et quelques plats froids sont servis. Des friandises également pour les bourses les moins garnies. "Nous sommes ici depuis la période des classes. Pour ce qui est du Bac, nous n'avons pas changé. On a le même menu à la carte. Les élèves comme les enseignants consomment aux prix habituels. Il y a aussi bien à manger qu'à boire. Juste que nous ne servons pas de l'alcool aux élèves. C'est réservé aux adultes", confie la dame derrière le comptoir au foyer du lycée Paul-Emane-Eyeghé d'Oloumi.
Mais ça, c'est sans compter avec les vendeurs ambulants qui ont envahi les alentours de certains centres d'examen. Cas du LTNOB où en dehors du foyer, le trottoir en face du portail a été accaparé dès les premières heures de la matinée par des restauratrices ambulantes. Elles proposent tout type de mets prêts à être consommés. Notamment des barbecues pour les braises de poulet, cotis et autres poisson.
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rodrigue.ndong
