La bourse olympique étant une source de motivation lors de la préparation d'une compétition pour un sportif, toutes les disciplines sportives sont éligibles au programme de Solidarité olympique.
A condition, nous a expliqué José Fola Walter (assistant du président du Comité national olympique du Gabon), que « l'athlète soit proche des minimas ou donne l'espoir de se qualifier aux Jeux olympiques ». En un mot, il faut qu'il soit performant. L'équipe de basket-ball, par exemple, a reçu une subvention de 120 mille dollars (environ 67 millions de francs) en 2015-2016 pour préparer l'Afro basket-ball, a révélé l'assistant du président du CNOG.
En dessous de la bourse olympique dont les fédérations gabonaises de boxe, de taekwondo, de judo et d'athlétisme ont souvent bénéficiée, a poursuivi notre interlocuteur, il existe également la subvention pour athlète de niveau continental. Les fédérations citées ci-dessus, ajoutées au tennis de table, au tennis sur court, au golf et à la natation, le savent.
On se souvient qu'à chaque assemblée générale du Comité national olympique gabonais, le président de cette entité sportive, Léon-Louis Folquet, a toujours présenté tous les programmes de Solidarité olympique. Hélas, de nombreuses associations sportives nationales sont attirées uniquement par l'argent de l'État, alors qu'elles ont deux sources de financement à leur disposition.
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rodrigue.ndong
