Gabon politique

Une situation source de nombreux désagréments pour les populations de la contrée.

En héritant d'un portefeuille ministériel qui n'a jamais existé avant, le nouveau ministre en charge du Suivi de la stratégie des investissements humains et des objectifs de développement durable devra faire face à plusieurs défis pour mettre sur pied le nouveau-né qui lui a été confié.

Cette problématique était au centre des échanges, hier à la Primature, entre le chef du gouvernement et le coordonnateur-résident du système des Nations unies accompagné de l'ambassadeur de l'Union européenne dans notre pays.

La capitale de la République démocratique du Congo (RDC) constitue la boucle de son périple entamé, il y a plusieurs semaines, à travers la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC).

Les conclusions auxquelles les experts sont parvenus, au terme de plusieurs jours de reflexion, dans le cadre de la Talk force instruite par le chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba, ne sont, semble-t-il, pas à la hauteur des attentes des gouvernants et des populations.

C'est ce qui ressort de l'audience accordée, hier, à la présidence de la République, au représentant spécial du secrétaire des Nations unies en Afrique centrale, Louceny Fall. Lequel a été introduit au cabinet présidentiel par le chef de la diplomatie gabonaise, Alain-Claude Bilie-By-Nze.

Le projet de budget du Gabon pour la prochaine année a été présenté hier à l'Assemblée nationale. Les ministres financiers dont Roger Owono Mba, le titulaire du portefeuille des Finances, étaient face aux députés de la Commission des Finances, du Budget et des Comptes publics. Ce texte intervient au moment où les besoins sociaux sont forts et de plus en plus nombreux.

Ils sont venus nombreux, Chinois et Africains, pour être édifiés sur l’histoire du Parti démocratique gabonais (PDG). C'était au cours d’une rencontre initiée par les responsables du Parti communiste chinois (PCC) à l’université des études internationales de Beijing.

Le Gabon devrait faire que ce pays sorte définitivement d’une crise qui le paralyse depuis des décennies.

Mandat a été confié à la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Louise Mushikiwabo, de poursuivre le processus des réformes en cours au sein de cette organisation.