Justice et faits divers au Gabon

Le sort a été cruel pour un gros hibou qui errait, vendredi soir, aux environs de 21 heures, dans une concession au quartier Avéa, dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville.

On ne verra plus ce visage très familier de l’Université Omar-Bongo (UOB), où il exerçait comme informaticien au campus numérique francophone de Libreville.

Orlin Mpouho, la vingtaine, a été arrêté, mercredi dernier, à la prison centrale de Libreville, par les matons. Du chanvre indien était dissimulé sous le plat de nourriture que Orlin venait d'apporter à son ami, incarcéré dans cette maison d'arrêt.

Alexis Iwangou, alias Ismaël, Gabonais de 42 ans, n'a pas trouvé mieux, en abandonnant son noble métier de maçon, que de s'adonner au vol. Et cela lui vaut aujourd'hui la prison.

Soixante kilogrammes d'ivoire ont été saisis à Makokou, dans la nuit du 20 avril dernier, par les agents des divers services chargés de lutter contre ce genre d'activité illicite.

Loïc Arnaud Ndongo, Gabonais, a, au terme de son procès, écopé de douze mois de prison dont six assortis du sursis, et d'une amende de 300 000 francs.

Un véhicule de marque Toyota Carina à usage de taxi, immatriculé EN 928 AA, après avoir effectué une sortie de route, la nuit dernière, a terminé sa folle course dans un canal situé au quartier Moukoundza, dans le 1er arrondissement de la commune de Mouila.

Les habitants du quartier Akue-Essimengane, à Bitam, chef-lieu du département du Ntem, sont sous le choc, au lendemain de l'assassinat d'un des leurs, Barri Mamadou Lamarana, un commerçant de Guinée Conakry, âgé d'une quarantaine d'années.

En garde à vue depuis mercredi dernier, quatre ressortissants togolais suspectés de trafic d'enfants seront présentés devant le parquet de Libreville ce vendredi.

Il baigne encore dans l'adolescence, mais N. M., Gabonais de 17 ans, traîne déjà un lourd passé de gangster présumé.